Bonjour à tous et bienvenue sur cette première capsule vidéo de Primos Populi. Primos Populi, qu’est-ce que c’est, qu’est-ce que ça mange en hiver? Pour ceux qui ne connaissent pas Primos Populi, ça veut dire « people first », les gens en premier, les gens d’abord. C’est un espèce de mouvement qui s’est développée un peu autour de moi suite un très grand ras-le-bol professionnel.

Donc à une certaine époque, il y a un peu plus d’un an, en avril 2017, j’ai donné un grand coup de poing imaginaire sur une table imaginaire., Suite à plusieurs événements et plusieurs observations dans mon entourage, je me suis simplement rendu compte que dans le milieu de travail à Montréal spécialement, mais probablement un peu partout dans le monde, beaucoup de gens sont traités comme des numéros, comme du bétail, comme des soldats, comme des robots. Moi, je trouve ça simplement inacceptable et au lieu de m’en plaindre, j’ai décidé: je vais faire quelque chose. Donc je me suis dit: « si personne ne s’occupe des gens, moi je peux le faire ».

Donc j’ai donné un grand coup de pied au derrière de ma carrière, et j’ai pris une tangente complètement différente de ce à quoi je m’attendais, et tout ça dans le but de ramener les gens au cœur du monde du travail. Donc ça ici, c’est tout le temps mon objectif depuis plus d’un an : tout ce que je fais supporte le retour des gens au cœur du travail.

Pourquoi faire des capsules vidéo? PrimosPopuli.com c’est d’abord un blog dans lequel j’écris des articles ,et il arrive parfois que c’est plus facile d’expliquer en personne certains concepts. Toutes les capsules qui vont être téléversées sur ce canal YouTube seront aussi dans le but de supporter le retour des gens au cœur du travail.

Ceux qui me connaissent, vous savez que j’aime beaucoup utiliser le sarcasme et le cynisme comme arme à double tranchant contre les environnements qui, sont justement, très très toxique et qui crée du cynisme et du sarcasme. Donc, j’ai simplement décidé de m’en inspirer, de ces phrases toxiques qu’on entend dans le milieu du travail pour nommer mes chroniques.

Donc, des trois chroniques que je m’attends à avoir très bientôt, la première sera celle où je me plains, où je suis baveux et effronté, et j’vais simplement faire du bashing contre des situations pas exactement imaginaire desquels j’ai été témoin, ou que j’ai vécu moi-même, donc je vais simplement me défouler. Cette chronique-là va s’appeler « Ta gueule pis travaille! »

La deuxième chronique où je vais recevoir des collaborateurs, des gens de mon réseau qui ont vécu des choses qu’ils veulent raconter, des choses qu’eux mêmes ont envie de dénoncer, ou simplement parler des sujets que, ils trouvent, supportent le retour de l’humain au cœur du milieu du travail. Donc, pour écouter des gens comme ça se joindre à moi, j’ai simplement appelé cette chronique « J’entends ce que tu dis ».

La troisième chronique, ce sera une approche un peu plus sérieuse, donc je vais simplement prendre des angles ou des approches différentes pour expliquer ou raffiner des concepts que j’ai déjà parlé dans mon blog, dans certains articles. Donc, cette chronique s’appellera « On a toujours fait comme ça ». Vous voyez un peu ce que j’fais là?

Donc, c’est trois chroniques dont je peux vous parler en ce moment, qui vont arriver très bientôt. Ma première capsule sera sur le syndrome de l’imposteur. C’est un sujet que j’ai déjà abordé récemment dans un article. Donc ce sera une chronique « On a toujours fait comme ça ». Syndrome de l’imposteur, pourquoi? Simplement : je suis dans mon salon en ce moment, en train de filmer avec mon téléphone et je n’ai pas la moindre idée de ce que j’suis en train de faire, c’est la première fois que je le fais.

Je vais moi-même découvrir comment faire de l’édition vidéo Ça va être édité sur un temps rare, vous pouvez me croire, j’ai recommencé 18 fois. Et puis, ben, je vais… Je me lance tête première sur des vidéos en ligne. J’ai jamais fait ça de ma vie mais l’idée d’avoir un canal de vidéos m’excite davantage que la peur de le faire, donc j’ai décidé simplement de le faire et c’est un petit peu ce que je vais raconter dans la première capsule qui sera probablement en-ligne dans quelques jours ou peut-être la semaine prochaine.

Donc, sur ce, je vous souhaite une bonne journée et puis n’oubliez pas : « Le monde du travail ne changea pas tout seul ». Bye bye!